Tianoushka

Somewhere over the rainbow

Jeudi 30 juin 2011 à 20:44

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Je sais que tu te souviens de tes cheveux épars sur l'oreiller glissant entre ses doigts, de son souffle chaud et régulier déferlant dans ton cou, de son regard charmeur et envouteur.. Je sais qu'il te manque, que tu as envie de te dire que ce n'était finalement qu'un cauchemar dont tu as mis du temps à sortir, je sais que tu préfèrerais faire comme si tu ne savais pas, comme si rien ne s'était passé.. Tu aimerais que je mente, que ce soit par pure vengeance, tu finiras peut être même par t'en persuader, avec le temps et ses paroles pour tenter de te rassurer. Tu te repasse depuis en boucle chaque secondes passées dans ses bras en te demandant comment un tel plaisir, un tel bonheur pouvais être si menteur. Tu n'as pas envie d'y croire et de me croire. Tu essaye de boire ses paroles comme au premier jours, tu essayes de lui faire confiance, mais la ce qui encore plus te fais mal c'est que tu n'y parvient pas et n'y parviendra peut être plus jamais... Je comprend combien tu peux être perdue entre l'amertume la peur et l'amour. Le dégout et la déception. Je sais à quel point il es difficile d'élucider et de poser des réponses sur les questions que tu te poses. Tu avais fois en lui, en vous en votre histoire.. Tu le croyais capable d'assurer et d'endosser ses responsabilités, capable aussi d'être honnête et fidèle mais sa n'a pas été le cas, pourquoi toi, pourquoi pas une autre, pourquoi lui , pourquoi .? Tu sais, quand je l'ai connus je le pensais comme sa aussi, respectueux et honnête était à mes yeux ses deux premières qualités, chose rare. Moi aussi je lui ai fait confiance. C'était rien de bien méchant, un pote, puis il es vite devenus un ami et un frère de coeur. Oui pour moi, c'était comme un frère je lui demandais conseil, je confessais chacune de mes erreurs et peurs, je lui ai même parlé d'une parcelle de mon douloureux passés, chose difficile et rarissime. Sauf qu'il a voulu un jour voir plus loin qu'un lien fraternel, et quand j'ai compris, tout est devenu bizarre, j'ai pris de la distance, ce qui m'a quelque par affectée, mais j'avais pas besoin de sa, j'ai déjà trouvé l'amour de ma vie. Puis est venu le jour ou je me suis rendu compte qu'il parlait sur mon dos, que chaque confession que j'avais put lui faire il l'avait partagé, il s'est même mis à mentir et inverser les rôles pour détruire mon couple. Sauf qu'a côté avec le temps je t'ai connue, on a parlé et je t'ai adoré, t'es une femme adorable et courageuse. Pleine de responsabilités que tu assumes avec brio. Et suite a ces évènements, même pendant j'ai pas réussi à t'en parler une erreur de ma part mais en même temps, je voulais te préserver de cette douleurs indescriptible qu'on peut ressentir quand on nous brise le coeur. J'avais écrit cet article, sans penser que tu le lirais, je voulais pas que t'apprenne tout sa de cette façon là. Malheureusement sa n'a pas été comme sa, c'était pas intentionnel, accidentel. Oui tu pourras croire que je suis une pétasse ou je sais pas quoi, tu voudras peut être arrêter de me parler, me supprimer de tes contacts, me bloquer, m'ignorer. Moi tout ce que je souhaite c'est que tu prenne soin de toi et ta fille, que tu t'occupes d'être heureuse, de trouver le bonheur, même si sa n'est pas avec celui que tu avais pensé, tu mérites mieux que ça, que lui. tu vaux tellement plus. Encore une fois pardonne moi...
Je sais que ce soir encore tu t'endormiras en pleurant, toi comme moi on sait que ces larmes on ne les retients pas, elles tombent sans relâche en silence criant toute la douleur que l'on porte en nous... impuissament. Mais garde s'il te plaît la tête sur les épaules, tu es bien plus forte que tu ne le crois, et puis tu n'est pas seule...

Samedi 25 juin 2011 à 17:23

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On pourra pas dire que je n'aurais pas essayé, que je n'aurais rien fait. A maintes reprises j'ai fermé les yeux, laissant les larmes couler en silence, encaissant, sans bruit, sans manifester le moindre signe de protestation.A combien s'élève pourtant le nombre d'heure que j'ai passé comme sa, à attendre, attendre que tout change, que pour une fois tout aille bien , que la vie me prouve qu'on a toujours moyen de s'en sortir et que les efforts paient. Que malgrés tout, il y a une raison au combat que l'on mène chaque jour.. J'ai essayé de me dire que sa en valait la peine... Je sais plus si j'y crois, tu sais j'ai plus la force de supporter ces disputes, tout ce que tu peux me dire et faire quand t'es fatigué ou enervé. Sa t'arrive trop souvent, je ne pourrais pas en supporter une de plus, car pendant que toi tu cries, moi je pleure et je faiblit. Je suis arrivée à un stade ou oui, je ne suis plus la femme que j'ai toujours été. Pourquoi ? Parce que je n'ai plus de rêves, plus de foie, plus d'ambition . Pourquoi ? Parce que tu m'as bien fait comprendre que j'aurais pas droit au bonheur. Moi ma vie sans toi, elle a plus de sens, et tu prends un malin plaisir a me détruire...Quand je ferme les yeux et que j'essaie de m'imaginer sans t'avoir a mes côtés, je suis prise de panique, j'ai du mal à respirer, j'ai les larmes qui roulent lourdement sur mes joues, je tremble et je souffre. C'est une douleur inqualifiable et pourtant de plus en plus fréquente. Elle me prend par les tripes, les retournent,les nies et me remonte la gorge. Le soucis, c'est que maintenant même quand je l'imagine avec toi, c'est comme sa, de penser a tes crises de parano, tes crises de fatigues, je meurt un peu plus. Je t'en supplie regarde moi, je ne sais pas réagit, fais quelque chose. Tu n'as pas confiance en moi, alors que contrairement a toi je n'ai jamais menti. tu me blâme pour des erreurs que je n'ai pas commise. Je sais que je ne suis pas exceptionnelle, que le regard des gens sont loins de s'arrêter sur moi dans la rue, que je n'ai pas de travail, pas de diplome et pas d'argent. Mais j'ai un coeur et de l'amour pour toi. Ce qui n'a pas de prix me semble t il. Tu as du mal a comprendre mon rythme de vie, et pourtant je fais tout mon possible de l'adapter au tient, mon but c'est pas de me coucher sans toi pour me réveiller avant et passer la journée sans toi. Autant partir chacun de son côtés et mener deux vies différentes... Il n'y a pas d'intérêt pour moi à vivre en décalé de toi, j'ai besoin de passer du temps a te parler, dans tes bras. Tout ces rares petits moments de tendresse qui mettent du baume sur les cicatrices de mon coeur. Alors que je t'écrit pour la énième fois, les perles salées comme a leur habitudes tombent délicatement de mes yeux, incessament. Je ne sais pas encore comment les stopper. Je te voie partir, et impuissante face à la situation, je me sent flanchir. Je n'ai plus envie de rien, juste peur, et le besoin de mourir. Pour quitter la dure réalité, pour échapper a ce mal qui me tourmente. Pour que tu sois heureux car à t'entendre je te fais du mal en ne faisant rien. Qu'est ce que l'amour ? Je me pose bien la question, j'ai l'impression de n'y avoir jamais gouté, est il sucré, est il amer ?  Apprend moi, et laisse moi t'apprendre. J'ai changé pour toi, sur beaucoup de points, toi tu ne fais pas d'effort pour alléger nos querelles, pour adoucir notre ménage. Tu vois pourtant bien que je ne vais pas bien, quand tu poses les yeux sur moi je reste silencieuse face au vide, les yeux pétillants d'amour pour toi. Tu reste pourtant sans rien faire à me blâmer. A me cracher des choses plus dures a supporter les unes que les autres. Ce qui me fais quelque part revivre l'atrocité de mes exs...  J'ai envie de sortir, de prendre une bouteille ou un pack, d'aller loin de tout et tout le monde pour boire, boire à en être ivre, boire à en oublier la vie, boire à m'endormir pour toujours... Ne plus savoir ce qui es vrai ou ce qui es faux, juste avoir un sourire sans raison, et partir. T'oublier, nous oublier, nous rayer, nous gommer. Mais en même temps te graver. Te regarder t'éloigner, sans vraiment comprendre, inconsciemment, innocement... Parce que lucide, je n'y arriverais pas. Je ne pourrais sentimentalement pas supporter. Tu sais c'est cette habitude de me réveiller de t'avoir près de moi, de m'endormir avec ton odeur, de voir tes affaires traîner un  peu partout, de voir des traces de toi ou que je soit dans l'appartement, parce que ta chicha fais trop de cendre ou que le tabac colle sur la table, la gazinière aussi engorgée de cendre et l'évier avec la vaisselle sale don tu t'occupes. Le tiroir avec tes affaires a narguilé, tes boites a charbons, tes babouche, ta pierre ponce jamais rangée dans la salle de bain, le bruit de ton ventilateur infernal... tu vois, tout sa fait maintenant parti de moi et de la vie que j'ai choisit de mener. Elle est pas facile, et m'a plus d'une fois blessée mais c'est aussi celle que mon coeur a choisit comme destin. Il n'y a que dans tes bras dans lesquels je pourrait me sentir à l'aise, ou je pourrais vivre. Il n'y a que toi que je pourrais aimer..

J'aimerais parfois remonter le temps, revenir 7 ans en arrière et ne pas te parler, ne pas te rencontrer, ne pas te croiser..
J'ai eu la chance de ma vie, et en même temps tout le contraire, à vrai dire je ne sais plus ce qu'il en es de notre histoire. Juste , j'ai mal .

Vendredi 24 juin 2011 à 20:40

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Je me sent défaillir, l'espoir commence à me fuir. J'ai peur il fait sombre, je n'ai plus la foie, j'ai peur de me retourner mais aussi d'avancer, je reste là sans bouger à la recherche de l'issue de secour. Il commence a faire froid, des larmes coulent de mes yeux comme d'amères perles salées, criant ma rage face au désespoir. Je faiblit peu à peu et perd le sens de la réalité, je m'en détache peu à peu sans trop savoir pourquoi ni comment . Mes mots sont confus, et mon coeur est lourd. De regrets, de remords et de douleur. J'ai tellement besoin de quelqu'un pour me dire comment m'en sortir. Toute seule je n'y parviendrais pas. Et puis de toute façon, à quoi bon ? Lorsque tout ira mieu, lorsque je commencerais a reprendre le souffle tout s'écroulera à nouveau. Et je perdrais tout ce que j'avais rebâtit. Je n'en ai plus la force. Le courage m'a déserté. Que me reste t il ? dans ces moments plus que difficiles ? Mes yeux pour pleurer. Je ne compte plus le nombre de fois où j'ai attrapé une lame, un rasoir ou un couteau, tout ce qui aurait put me trancher le poignet pour me tirer de cette attrocité. Mais c'est arrivé là que je suis la plus vulnérable, toute force physique m'abandonne et je ne parvient pas à appuyer suffisament fort pour en finir. Aujourd'hui j'ai compris... Elles sont l'unique raison qui fasse que je suis encore là. Parce que malgrés tout ce que je peux porter en moi, la douleur, la rancoeur l'amertume, même si je n'y crois plus, quand je les revoies, toute les deux, souriantes, quand je repense a combien je suis bien quand elles sont près de moi, je réalise que malgrés tout, ce bonheur près d'elles, est bien plus fort, l'amour que je leur porte bat tout les records. Jamais je ne pourrais me permettre qu'elles pleurent ma perte. J'ai tellement besoin de les voirs heureuses que... Je pourrais encaisser chaque obstacle se présent sur mon chemin. Cet article aura peut être un aspect confus, fatiguant à lire à force de répétition, je me mélange beaucoup aussi, mais ce que j'ai envie de vous faire comprendre, à chaque personne venant un jour à lire cet article, c'est que, même si vous pensez être arrivés au bout. Quoi que que vous ayez put avoir vivre, que vous croyez que le mieu est d'en finir, qu'il n'y a pas de raisons pour continuer a se battre et que la meilleure solution est de baisser les bras.. C'est faux, cherchez bien, et vous vourrez que dans le tas il y a forcément quelque qui fait que l'on survivra... Parce que le bonheur n'a pas de prix, pas même celui du malheur. Et ne serais ce qu'une seconde de ce bonheur vaut bien mille ans de malheur. Mes fiertées, mes petites soeurs, mes fleurs Léa&Julia.


Dimanche 19 juin 2011 à 16:24


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C'est fou que l'homme peut s'attarder à détruire et déçevoir la femme. La prend t il finalement comme un objet, une poupée Dolls avec laquelle l'on joue pendant les heures creuses ? Oui lui arrive t il d'être sincère, honnête et respectueux ? Je n'y crois plus . J'ai tant de fois été trahie, tant de fois été blessée. Et le plus dur c'est que sa a toujours été par des personnes pour qui j'ai put avoir de l'estime, des personne qui comptaient pour moi, des gens dont jamais je n'aurais voulu me défaire. Tous ont bien sut jouer leur doubles jeu, mon père le premier ... Pouvoir parler sans être critiquée, sans être poursuivie par le passé, sans regrets ni peur.. je ne connais pas tout sa, chaque fois que j'ai essayé de parler de moi à une personne du sexe masculin j'ai bien vite été rongée par les remords de tout voir se dévoiler au grand jour. Dans ces moments là qu'est qu'on peut se sentir impuissante... C'est terrorrisant comme situation. Mais là encore on ne peut rien y faire. Je part du principe qu'on a tous ses expériences à vivre, mais si j'ai appris quelque chose aujourd'hui c'est que l'homme n'est pas digne de confiance. sous ses allures de beaux parleurs se cache les 3/4 du temps un beau crevard, sans coeur ni morale, qui s'amurera a nous briser dès que la première occasion se présentera à lui. Et sa, pour moi ce ne sont pas des hommes, plus des déchêts de la société et leur nombre s'accroît un peu plus chaque jours. J'ai la possibilité de rendre la monnaie de la pièce à certain, les mettre vraiment dans une merde telle qu'ils regretteraient de suite tout le mal et le tort qu'ils auraient put à un moment me causer.. Mais je ne suis pas ce genre de personne détestable. C'est pourtant à la limite du jouissif d'avoir la possibilité de se venger.. Mais je n'ai pas envie de me rabaisser à leur niveau à détruire des couples. Sa ne m'avancera à rien, sa ne m'apportera rien, à part la douleur d'une femme face a son mari indigne. J'aimerais quand même qu'elle comprenne à quel point elle peut être bernée entre le faux et la réalité par son vendeur de rêve. Elle ne sais pas quand il l'insulte, qu'a ses potes dans son dos il dit "elle a vraiment une sale gueule mais bon"  de savoir qu'il dit à d'autres "pendant que je couchait avec elle je pensais a toi". Alors oui je pourrais lui dire comment il parlait d'elle, ce qu'il disais quand elle était hors de sa portée. Je pense qu'elle n'aurais aucune difficulté à me croire et à voir la vérité, étant donné que depuis plus d'un mois c'est moi qui répare les pots cassés dans leur couple, c'était moi a chaque fois qui l'empêchait de partir pour ne pas qu'elle le quitte en lui redonnant de l'espoir afin qu'elle s'accroche a la survie de ce qu'ils osent appeler un couple, ce ménage fondé sur le mensonge, d'un petit vicieu. Un homme totalement irresponsable et irréfléchi qui passe son temps à se droguer, qu'il s'agisse de cachets, d'alcool, de fumette... Il prend de tout c'est simple. Sur sa aussi je pourrais le mettre dans la merde, si j'étais une garce de leur catégorie. Mais je ferais plus intelligent.  Je ne sais pas encore quand ni comment, mais je vais lui montrer, qu'il est mal de mentir, qu'il est mal de s'attaquer a des choses, qui ne le regardent pas, que son comportement est tout à fait indigne de sa religion, car si allah existe, il ne lui ouvrira pas les portes du paradis.

Je remercie en attendant ma Copinette chérinette pour m'avoir aidée a garder la tête haute à travers cette difficile épreuve.
Je la remercie d'avoir fait en sorte que les choses ne se soient pas aggravées et empirées.
Comme te l'a dit mon chéri, nous te reverrons dès que l'occasion se présentera l'ascenceur.
Et sache églament, que je t'aime et que je te compte parmis les meilleures.

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