Tianoushka - Somewhere over the rainbowParce que par delà les frontière de la vie, il y a le fantasme, il y a l'envie et il y a l'espoir que nous fournissent nos rêves.Cowbloghttp://tianoushka.cowblog.frFri, 04 Nov 2011 06:17:44 +0100180"Exilé, sensible, malheureux, on regrette sa famille, et surtout la douceur de l'amour maternel." [André Maurois]Fri, 04 Nov 2011 06:17:00 +0100Fri, 04 Nov 2011 06:17:00 +0100http://tianoushka.cowblog.fr/exile-sensible-malheureux-on-regrette-sa-famille-et-surtout-la-douceur-de-l-amour-maternel-andre-maurois-3148649.htmlTianoush http://tianoushka.cowblog.fr/images/Sanstitre13.jpg

Je regrette certains mots lancés sous la colère. Je regrette chacune des larmes que tu as put ce soir la verser . Tout comme je regrette tes actes , le fait que tu te soit encore de trop imitié dans ma vie. je regrette que tu ne sache pas respecter notre intimité et nous laisser nous sortir de nos querelles sans y rajouter ton grain de sel . Je regrette que ton intrusion ai tout chamboulé de sorte a ce qu'une simple dispute se transforme en une révolution .  

Tu m'auras fait regretté d'être née , d'avoir cru en la vie et d'avoir aimé . J'ai regretté d'avoir un coeur des sentiments et certaines valeurs . Je regrette d'avoir eu peur, d'avoir toujours peur en fait, et de ne pas être une fille parfaite . Je regrette que tu  n'ai jamais cru en moi et en l'amour que je te porte . Je regrette que tu n'arrive pas à assumer tes erreurs passées et que tu me fasse passer pour mythomane . Je regrette que tu cherche tout le temps à m'humilier pour réhausser ton image.

Cette fois j'ai faillit perdre l'homme que j'aime a cause de toi, celui avec qui j'ai envie de construire ma vie tu vois ; j'ai faillit commettre l'irréparable poussée a bout par ton attitude semblable a celle qui me terrorrisait étant petite . Je n'accepterais plus que tu prononce quoique ce soit en rapport a ma vie . Je ne pourrais jamais trouver en toi la mère  sincère et neutre à qui je pourrais me confier comme a la meilleure des amie pour trouver conseil . Je n'aurais jamais de complicité avec toi, puisque quoi qu'il se passe fasse à moi tu parle mal de ce qui m'entoure et dans mon dos tu me descend.

Je regrette & je regretterais.
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Il y a des mots qui pleurent et des larmes qui parlent. [ Abraham Cowley ]Mon, 17 Oct 2011 13:13:00 +0200Mon, 17 Oct 2011 13:13:00 +0200http://tianoushka.cowblog.fr/il-y-a-des-mots-qui-pleurent-et-des-larmes-qui-parlent-abraham-cowley-3144706.htmlTianoushJ'ai besoin de te parler. J'ai compris beaucoup de chose. J'aimerais trouver les mot adéquat pour te dire ce que je ressent au fond de moi. Parce que j'en ai à te raconter. Il n'y a a mon discour ni début ni fin là est le problème.


Tremblotante j'allume mon ipod et met les écouteurs, je le glisse sous l'oreiller et fixe le noir dans la chambre. Mon doudou dans les bras, j'essaie de vider ma tête. Elle est lourde. J'ai froid je grelote et j'ai mal. Petit à petit des larmes commencent à remplir mes yeux, et roulent doucement sur mes joues. Puis il y en a de plus en plus. Silencieuse mes cris s'étouffent avant même d'avoir atteint mes lèvres. J'ai besoin de toi. Je t'en veux, à cause de ton absence je n'ai jamais les armes pour garder la tête haute, et trop souvent je m'écroule. Plus tard je me suis disputée avec mon copain. J'ai cassé ma carte sim, jetté mon ipod par la fenêtre et j'ai coupé mes cheveux. A l'arrache. J'avais besoin de faire quelque chose. Jai pété les plombs je voulait tout casser. Oh bien sur je regrette, je vais devoir aller demander à maman de m'égaliser les cheveux car bien évidemment c'est pas coupé super droit . Il faudra que je recommande une puce orange mais j'ai perdu la totalité de mes numéros. Le pire dans tout sa c'est que rien ne me soulage. J'ai toujours la haine en moi. La rancoeur. Seule chose que je détient de toi au final.


C'est triste à dire, surtout à reconnaître mais la seule chose que l'on peut dire masculine qui ne m'a jamais abandonnée depuis le jour de ma naissance c'est mon doudou. Oui ma peluche. J'avais quelque chose a serrer dans mes bras, sur lequel pleurer, et à qui parler. Je sais qu'il n'y a aucune chance pour avoir une réponse de sa part ce n'est qu'une peluche, mais je pouvais lui confier mes craintes, mes peurs, mes douleurs et mes joies. Même quand j'ai été malade mon doudou était la toi, jamais.


J'ai beaucoup travaillé sur une façon de combler le vide que j'ai de toi. Et je me rend désespérément compte que jamais je ne le pourrais. C'est comme si j'étais sequestrée dans une pièce, sans eau, sans nourriture sans RIEN. Et que la porte toi seul puisse l'ouvrir. Chose que jamais tu ne ferais, je pourrais crever que je serais encore le cadet de tes soucis. Et tu es mon père. On ne choisit pas si il y a une vie avant, la famille ou l'on va, ou alors je devais être bien sado pour tomber chez toi. Je ne regrette pas maman ni mes extraordinaire soeur. Mais alors toi t'es un fichus détritus de notre société. Un connard, parmis pleins d'autre, malheureusement tu 'nest pas seul.

Et je me retrouve avec une maladie. Une maladie qui je sent pourrait me faire courir à ma perte. Et qui ne connaît aucun remède. Celle de t'aimer.
J'ai qu'une envie la te dire tout sa une bonne fois pour toute droit dans les yeux. L'idéal serait même que tout tes super potes (profiteurs) soit autour de toi. Que tu te ridiculise. que ta fierté en prenne un bon coup, qu'on voit a quel point tu es un père.. Formidable.


Je crois même que j'y prendrais plaisir.
Papa, je te haie. Papa tu me blesse. Papa tu m'as pourris l'existence.



" Papa "

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On n'oublie rien de ce qu'on veut oublier : c'est le reste qu'on oublie. [Boris Vian]Sun, 09 Oct 2011 03:05:00 +0200Sun, 09 Oct 2011 03:05:00 +0200http://tianoushka.cowblog.fr/on-n-oublie-rien-de-ce-qu-on-veut-oublier-c-est-le-reste-qu-on-oublie-boris-vian-3142861.htmlTianoush
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Avant-Hier tu as fêté tes 44 ans . J'ai pensé a toi toute la journée, et pourtant, je ne t'aurais rien envoyé. Sa n'a pas été facile , de penser a toi me serre le coeur et l'éventualité que mon geste te blesse me tue plus encore, mais ... L'auras tu seulement remarqué ? Je ne sais pas, voilà des mois que je n'ai plus une seule nouvelles de toi, je ne saurais même pas dire a quand remonte notre dernier "contact". Combien de temps pourrais tu laisser les choses comme sa ? J'ai peur que tu n'y accorde absoulement aucune importance . J'ai peur, oui que tu m'oublie, que tu n'en ai finalement rien à foutre.

Malgrés tout, m'appeleras tu , toi pour mes 19 ans ? Penses tu un peu à moi, te reverrais je ?

Dans ma vie, tu n'es plus qu'un mirage, un fantasme au bout de mon regard, quelque chose que je ne pourrais jamais atteindre , j'ai cette sensation de courir sur place, tourner en rond, avec toi. Quand j'avance d'un pas tu m'en fais reculer de 10. Tu es si loin de moi tout en étant géographiquement proche. Je te cherche, je t'attend et toi tu m'ignore. J'ai tout essayé, les conneries, les excuses, les bonnes intentions, les bonnes notes, la psy, la communication, le partage, la confession, tout s'est toujours conclué sur un échec, des essais tagué inutiles.

Comme j'ai besoin de toi pourtant, encore et toujours, apprend moi à parler aux hommes, a retrousser mes manches et faire face aux situations, à être forte et lucide, aime moi comme si j'étais ta princesse, épaule moi lorsque je sent le sol s'écrouler sous mes pieds. Sèche mes larmes qui coulent si souvent.

J'aimerais passer du temps avec toi, aller promener, sortir au cinéma, manger au restaurant, voyager, parler, t'avoir à mes côtés tout les jours, savoir que si je vais mal je n'aurais qu'a composer ton numéro pour trouver ton réconfort. Tu n'as jamais rien fais pour moi, et aujourd'hui je te voie commencer entre guillemet a jouer le papa pour Julia, il a fallut que je sorte de ta vie pour sa ? Pourquoi tu n'as jamais agit comme sa avec moi, tu l'appele tu prend de ses nouvelles, tu la prend régulièrement chez toi... 

Depuis avril j'ai mon appartement et mon copain, j'ai réussit pour la fête des pères a prendre mon courage a deux mains te faire la surprise de ma présence en ce jour à ta brasserie, pour te le présenter et te souhaite une bonne fête, encore une fois je n'étais qu'une cliente, une table de plus dans ton commerce, que tu n'aurais pas différencié de celle de ton meilleur ami. Et encore il avait encore plus droit à ta présence. Mais toi malgrés le nombre de fois ou tu as été près de chez moi, devant ma porte, jamais tu ne serais monté, jamais tu n'aurais toqué, tu n'est pas passé. Et pourtant je n'ai attendu pendant longtemps que sa, que mon papa vienne voir, que je prend mon envol, que je grandie, qu'il soit fièr de moi, qu'il me regarde comme une femme.

Mais même ton regard papa, me traverse... Même si tes yeux me fixaient, tu ne me verrais pas...
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L'absence est le plus grand des maux. [Jean de la Fontaine.]Tue, 27 Sep 2011 15:57:00 +0200Tue, 27 Sep 2011 15:57:00 +0200http://tianoushka.cowblog.fr/l-absence-est-le-plus-grand-des-maux-jean-de-la-fontaine-3140460.htmlTianoush
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Je sais que tu as les yeux bleus. Je sais aussi que tes cheveux sont blonds cendrés. Je me rappele encore l'odeur de tes parfums. Je revoie encore ton sourire, et le regard absent que tu poses sur moi. Je me souviens, je crois du timbre de ta voie. Et j'ai aussi en mémoire toute les promesses que tu n'aura jamais su tenir à mon égard. A commencer par celle d'être toujours là pour moi, car tu ne l'a jamais été.


Je parle de moins en moins de toi. Et même dans mes textes tu n'as plus tellement ta place. Et pourtant je n'arrive pas à t"oublier. Quand je dois parler de toi, j'essaie d'aborder le sujet ironiquement, de sorte a donner cette impression que j'ai surmonté l'épreuve et que j'ai tourné la page. Mais tu es pourtant toujours présent dans ma tête.

Dis moi ce que j'ai bien put faire pour mériter autant d'ignorance de ta part. Je suis ta fille et pourtant tu peux passer des mois sans chercher à me voir ou me parler. Je sais même que ce serait des années qui pourrait passer avant que je n'ai le privilège d'avoir un signe de ta part.

Maman m'a souvent racontée avec cette pointe d'envie a quel point je réclamais ta présence depuis mon plus jeune âge. a peine a 4 pattes je te suivais jusqu'au seuil de la porte lorsque tu partais et quand tu refermais derrière toi la porte, je restait là à pleurer. Je ressentait déjà qu'un jour tu m'abandonnerais. Je l'ai toujours sut au fond de moi en prenant de l'âge. Je n'ai jamais voulu donner raison à mes peurs mais aujourd'hui je me rend compte qu'elles étaient vraies. Combien de fois je t'ai appelé en larme te demandant d'être là pour m'écouter et me parler, ne récoltant qu'un petit j'ai pas le temps avant que tu ne me racroche au nez.


Combien d'attitudes indigne d'un père avec sa fille. Combien de jours sans que tu ne me demande si je suis toujours vivante. Combien d'heures a pleurer ? Nul ne pourra le compter. J'ai envie de te pardonner, j'ai envie de t'oublier. Mais j'ai encore plus envie que tu changes.

Il es vrai que l'espoir fait vivre, sa en est la preuve. Mais tu ne le fera jamais. T'es comme sa. 


Je ne suis qu'une jeune fille blessée de l'âme, à la recherche de son père. Les yeux trop fréquemment humides, j'avance, seule . En manque de repère, apprend moi à parler aux hommes, apprend moi à être forte et faire le deuil de mes blessures. Apprend moi comment garder la tête haute même dans les pires circonstances. Maman m'a appris le respect et à entretenir une maison, elle m'a montré comment garder espoir et toujours y croire. Mais maintenant à toi de faire ton travail. A ton tour de m'aimer. J'en ai besoin. Tu n'es pas mort tu existes, tu n'est qu'a quelques minutes de chez moi et pourtant c'est comme si je n'avais jamais eu de paternel. Papa ..

Papa,Papa,Papa,Papa,Papa,Papa,Papa,Papa,Papa,Papa,Papa,Papa,Papa,Papa,Papa,Papa,Papa,Papa,Papa,Papa,Papa,Papa,Papa,Papa...

Comme une cloche, ce mot résonne dans ma tête , dénué de sens et chargé d'une indescriptible douleur.
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Le désespoir est le suicide du coeur. [ Jean-Paul Richter.]Wed, 17 Aug 2011 21:10:00 +0200Wed, 17 Aug 2011 21:10:00 +0200http://tianoushka.cowblog.fr/le-desespoir-est-le-suicide-du-coeur-jean-paul-richter-3131034.htmlTianoushQuoi qu'on dise, ce n'est jamais facile, l'enfance. On s'illusionne quand on le décrit comme un paradis perdu. [Hélène Rioux]Sat, 13 Aug 2011 20:46:00 +0200Sat, 13 Aug 2011 20:46:00 +0200http://tianoushka.cowblog.fr/quoi-qu-on-dise-ce-n-est-jamais-facile-l-enfance-on-s-illusionne-quand-on-le-decrit-comme-un-paradis-perdu-helene-rioux-3130170.htmlTianoush
Je repense souvent à toute ces années passées, dans l'ignorance de ce qu'il allait pouvoir un jour m'arriver. Cette insouciance qui flottait dans les airs, ce parfum de rêves, toute ces belles choses que l'ont pouvait imaginer, les projets que l'on envisageait pour notre future vie d'adultes... Où le bonheur répondait présent, ou il n'y avait de place que pour le partage, la compréhension, le respect.. Lorsque le sourire éclairait souvent nos lèvres... Puis le temps passe, les années s'écoulent. On endure petit à petit les étapes que nous présentent la vie, certaines sont surmontable aisément d'autres demandent du temps et des larmes.. Peu à peu la réalité prend place, et plusieurs de nos rêves s'égarent. Pour certains la totalité les aurons désertés.. On se fixe alors un but et chaque jour on se bat pour y parvenir. Puis un jour on repense a cette époque innocente.. Et la le coeur gros une certaine nostalgie nous envahit.. 

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Même quand la blessure guérit, la cicatrice demeure.Wed, 10 Aug 2011 15:25:00 +0200Wed, 10 Aug 2011 15:25:00 +0200http://tianoushka.cowblog.fr/meme-quand-la-blessure-guerit-la-cicatrice-demeure-3129362.htmlTianoush Cette fois j'arrête le combat. J'ai baissé la tête et je suis restée sur ce sol humide ou deux secondes avant encore tu me levais la main . Je pleure de douleur et de peur, j'ai tellement mal , que mes cris s'étouffent dans ma gorge. Je suis cassée de toute part. Quand je lève péniblement les yeux et que je te regarde, je souffre d'autant plus, car je t'aime. Oui je t'ai aimé, et peut être que je t'aimerais encore. Mais je ne peux plus. J'ai souvent caché tes coups, nié ta violence, refusé de voir ce qui pourtant était évident. J'ai voulu croire qu'avec le temps tu te calmerais, j'ai voulu espérer que tu m'aimais. Je ne peux plus ravaler mes larmes et te laisser sâlir le peut de fierté que la vie m'a laissée. Tu sais, après un viol, et tant de relations ou on n'a pas sut me respectée, j'ai donné le peu qu'il me restait pour toi, pour  nous. J'ai même finit par arriver à te parler de mon passé. Tu as simplement eu ma vie entre tes doigts de brute. J'ai tout misé, mes derniers rêves, mes dernières ressources. Mais tu m'as fusillée. Ce n'est pas de ces douleurs qu'on inflige d'un grand coup sec. Mais coups de poingt par coups de poingts, comme pour faire durer un peu plus le spectacle et mon agonie. Je suis chancelante. Après avoir transformé l'appartement en front de guerre internationale, tu es remontée te coucher, pour dormir, et moi je suis la par terre je pleure. Je tâtonne a la recherche de mon téléphone pour y contacter quelqu'un qui pourrais me sortir la ou qui pourrais simplement me laisser pleurer en restant au bout du fil. Mais sans résultat. Je suis seule, enfermée à clefs dans l'enfer ou j'ai foncé tête baissée. Je n'aurais pas dut engager aussi loin notre histoire, je n'aurais pas du croire que le bonheur était si facile d'accès mais plutôt lui retirer le masque qu'il portait. Chose que j'ai préféré nier en mon fond intérieur, parce que Bordel je t'aimais. Coupée du monde extérieur tu me pourrissait la gueule parce que tu ne comprend pas, qu'a être seule oui j'ai des potes a qui parler, parce que j'ai besoin de parler. Je n'ai plus de voie, ni de gout  à quoi que ce soit, dans cette ultime bataille le peu qu'il me restait y est passé. Je n'ai plus rien. Ni mon estime ni mes envies, ni mes rêves ni ma vie. Tout a perdu son sens. Je suis impuissante. Echec et matt. J'ai perdu la parti. La vistoire a triomphé et la défaite je vais devoir essuyer. J'ai envie de partir, j'ai envie de t'oublier. J'ai envie de croire que je pourrais un jour me reconstruire. Mais je suis prisonnière ici , bloquée, effacée. Tu as décidé de me garder comme trophé. Tu as décrété que tout devait se passer comme tu l'entendrais, et je suis forcée de faire avec. C'est comme sa depuis quelques temps. Tu me rend la vie invivable un peu plus à chaque seconde sans jamais t'en rendre compte.


Je ne t'entend plus bouger sa y es tu t'es finalement endormi, j'attrape le balais et ramasse les morceaux de verres cassés , puis passe un coup de serpière pour le thé qui s'est renversé. Le bout de verre que je tenais entre les doigts appelait mes veines, il leur mumurait de belles paroles, leur promettant un avenir plus calme et paisible. J'ai commencé a l'approcher de mon poignet, a appuyer, j'allais m'ouvrir, quand mes yeux se sont doucement relevé sur le cadre de photo de Léa. Nouvelle submergion  de larmes, je ne pourrais même pas faire sa. Je ne pourrais pas la laisser, ni elle ni Julia ni ma mère. Je n'ai pas la force de leur faire du mal. Je suis donc condamnées a souffrir pour les voir vivre. Non pas que je regrette car chacun de leur sourire, me redonne envie de vivre. Pourquoi justement aujourd'hui vous êtes si loin de moi ? J'aimerais tellement vous prendre dans mes bras...


Je ne suis pas parfaite et des défauts j'en ai par centaines, a commencer par mon physique similiaire a un éléphant. Mais ai je mérité tant de violence ? Ai je mérité tant de mépris  ? Pourquoi je ne suis toujours qu'utile a décharger les nerfs ? Prendre des claques et faire comme si tout était pour le ieu dans le meilleur des mondes ? Pourquoi je dois attendre d'être loin de tout les regards, seule recroquevillée dans le noir pour pouvoir lâcher mes larmes ? Et le respect , l'amour, la compréhension ... Où sont ils ?



Malgrés tout ce que j'aurais fait , pour toi , pour nous , pour la survie de notre couple, je ne pourrais pas une fois de plus faire mine d'oublier et te pardonner. Je ne pourrais pas te dire encore une seule fois que je t'aime, je ne sais même pas si je pourrais encore te regarder dans les yeux. Malade du dos, et de la gorge depuis 2 jours, je me retrouve la,pleine de traces de ton impulsivité, mon bras droit a des bosses qu'il ne devrait pas avoir, comme une déviation sur l'autoroute, des traces bleues et rouges, j'ai l'impression de sentir encore tes mains serrer mon cou, ou tes doigts me tordre le bras dans le dos quand je mangeai le par terre.


Désolée d'avoir cassé la table basse en marbre de ta mere, mais tu m'as fais peur,  je recommençait a faire une crise, tu étais dressé devant moi et j'ai balancé pieds et mains comme je pouvait ou je pouvais, mon but n'étant pas de la viser a elle. Mais à me débattre et me tenir un maximum éloignée de ta violence incontrôlable. Puis quelque soit sont prix, c'est un meuble. Toi tes coups tu les donnaies intentionnellement et sur mon corps, chose qui ne se rachète pas ni ne se rembourse, et que rien ne pourrais réparer et panser.

Amen.

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On ne peut jamais tourner une page de sa vie sans que s'y accroche une certaine nostalgie. [Eve Belisle]Sun, 07 Aug 2011 18:53:00 +0200Sun, 07 Aug 2011 18:53:00 +0200http://tianoushka.cowblog.fr/on-ne-peut-jamais-tourner-une-page-de-sa-vie-sans-que-s-y-accroche-une-certaine-nostalgie-eve-belisle-3128688.htmlTianoush
http://tianoushka.cowblog.fr/images/larme.jpgTristement de ma fenêtre je regarde la pluie s'abattre sur le goudron. J'ai les yeux humide et mon coeur remplit d'un chagrin indescriptible, un de ceux qui nous terrassent.  T'arrive t il de penser a moi .. Est ce que parfois tu aimerais me voir , m'entendre et savoir comment je me porte ... J'aimerais pouvoir me confier a toi et avoir droit à des conseils paternel, que tu m'oriente dans ma vie, un petit peu parce qu'en ce moment je ne sais plus quoi faire. Mes nuits se font longues et douloureuses. Je n'ai plus de sommeil, ici ils te dirons que c'est a cause de la télévision et de l'ordinateur, mais c'est parce que trop de questions me trottent dans la tête et toi seul peut m'en donner la réponse, chose que je ne sais tu ne feras pas. J'ai de plus en plus mal, tu voie je m'étais promis de te considérer comme inexistant, mais c'est si difficile de faire semblant. Donne moi ton secret.. Papa ... Je ne voie plus le soleil briller même s'il illumine le ciel, je n'entend plus les oiseaux chanter même si ils en font tout un concert. Je n'ai plus le goût de la vie de famille, j'ai peur d'avoir un jour à mon tour des enfants, peur qu'ils aient à revivre tout sa, peur des choix que j'aurais un jour à faire, sans tes conseils, sans ton amour. Je t'en supplie dis moi que tu m'aimes, dis moi que je compte à tes yeux , que je fais partie de ces choses qui te tiennent debout qui te donnent l'envie de te lever le matin, et te donnent la force d'affronter chaque journée. Si chaque larme était une perle je serais alors des plus riches de ce monde...

Papa, tellement de choses que j'aurais à te dire, mais tellement peu d'opportunité de le faire. Il y a tellement que je voudrais que l'on partage... Mais tu ne m'en accorde ni le temps ni le droit. Papa, j'aimerais tellement pouvoir me blottir dans tes bras pour y pleurer, j'aimerais tellement que tu me regarde un peu droit dans les yeux. Papa dis moi que tu m'aimes et que je te manque. Dis moi que si je venais à partir ta vie perdrais de son sens, que les jours ne seraient pour toi plus si heureux et ensoleillés... Dis moi que tu verserais tellement de larmes que tu aurais peur de perdre la vue. Dis moi que je t'es con que je compte pour toi, que tu ne juste pas comment t'y prendre ni comment revenir vers moi . Dis moi qu'il ne se passe pas une seconde sans que mon image ne hante tes pensées et pour une fois dis moi que t'es fièr de m'avoir dans ta vie.

Tu sais, j'ai beau fermer les yeux et imaginer l'impensable, je pourrais y voir des poneys roses, des fleurs qui chantent, je n'arriverais quand même pas à te voir sur mon horizon...

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Pour aimer soyez Discret, la clef des coeurs c'est le secret.Fri, 05 Aug 2011 03:11:00 +0200Fri, 05 Aug 2011 03:11:00 +0200http://tianoushka.cowblog.fr/pour-aimer-soyez-discret-la-clef-des-coeurs-c-est-le-secret-3128352.htmlTianoushL'amour ne commence ni ne finit comme nous le croyons. L'amour est une bataille, l'amour est une guerre, l'amour grandit. [James Baldwin]Wed, 03 Aug 2011 02:31:00 +0200Wed, 03 Aug 2011 02:31:00 +0200http://tianoushka.cowblog.fr/l-amour-ne-commence-ni-ne-finit-comme-nous-le-croyons-l-amour-est-une-bataille-l-amour-est-une-guerre-l-amour-grandit-james-baldwin-3127601.htmlTianoush