Tianoushka

Somewhere over the rainbow

Mercredi 17 août 2011 à 21:10

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Samedi 13 août 2011 à 20:46


Je repense souvent à toute ces années passées, dans l'ignorance de ce qu'il allait pouvoir un jour m'arriver. Cette insouciance qui flottait dans les airs, ce parfum de rêves, toute ces belles choses que l'ont pouvait imaginer, les projets que l'on envisageait pour notre future vie d'adultes... Où le bonheur répondait présent, ou il n'y avait de place que pour le partage, la compréhension, le respect.. Lorsque le sourire éclairait souvent nos lèvres... Puis le temps passe, les années s'écoulent. On endure petit à petit les étapes que nous présentent la vie, certaines sont surmontable aisément d'autres demandent du temps et des larmes.. Peu à peu la réalité prend place, et plusieurs de nos rêves s'égarent. Pour certains la totalité les aurons désertés.. On se fixe alors un but et chaque jour on se bat pour y parvenir. Puis un jour on repense a cette époque innocente.. Et la le coeur gros une certaine nostalgie nous envahit.. 

Mercredi 10 août 2011 à 15:25

 Cette fois j'arrête le combat. J'ai baissé la tête et je suis restée sur ce sol humide ou deux secondes avant encore tu me levais la main . Je pleure de douleur et de peur, j'ai tellement mal , que mes cris s'étouffent dans ma gorge. Je suis cassée de toute part. Quand je lève péniblement les yeux et que je te regarde, je souffre d'autant plus, car je t'aime. Oui je t'ai aimé, et peut être que je t'aimerais encore. Mais je ne peux plus. J'ai souvent caché tes coups, nié ta violence, refusé de voir ce qui pourtant était évident. J'ai voulu croire qu'avec le temps tu te calmerais, j'ai voulu espérer que tu m'aimais. Je ne peux plus ravaler mes larmes et te laisser sâlir le peut de fierté que la vie m'a laissée. Tu sais, après un viol, et tant de relations ou on n'a pas sut me respectée, j'ai donné le peu qu'il me restait pour toi, pour  nous. J'ai même finit par arriver à te parler de mon passé. Tu as simplement eu ma vie entre tes doigts de brute. J'ai tout misé, mes derniers rêves, mes dernières ressources. Mais tu m'as fusillée. Ce n'est pas de ces douleurs qu'on inflige d'un grand coup sec. Mais coups de poingt par coups de poingts, comme pour faire durer un peu plus le spectacle et mon agonie. Je suis chancelante. Après avoir transformé l'appartement en front de guerre internationale, tu es remontée te coucher, pour dormir, et moi je suis la par terre je pleure. Je tâtonne a la recherche de mon téléphone pour y contacter quelqu'un qui pourrais me sortir la ou qui pourrais simplement me laisser pleurer en restant au bout du fil. Mais sans résultat. Je suis seule, enfermée à clefs dans l'enfer ou j'ai foncé tête baissée. Je n'aurais pas dut engager aussi loin notre histoire, je n'aurais pas du croire que le bonheur était si facile d'accès mais plutôt lui retirer le masque qu'il portait. Chose que j'ai préféré nier en mon fond intérieur, parce que Bordel je t'aimais. Coupée du monde extérieur tu me pourrissait la gueule parce que tu ne comprend pas, qu'a être seule oui j'ai des potes a qui parler, parce que j'ai besoin de parler. Je n'ai plus de voie, ni de gout  à quoi que ce soit, dans cette ultime bataille le peu qu'il me restait y est passé. Je n'ai plus rien. Ni mon estime ni mes envies, ni mes rêves ni ma vie. Tout a perdu son sens. Je suis impuissante. Echec et matt. J'ai perdu la parti. La vistoire a triomphé et la défaite je vais devoir essuyer. J'ai envie de partir, j'ai envie de t'oublier. J'ai envie de croire que je pourrais un jour me reconstruire. Mais je suis prisonnière ici , bloquée, effacée. Tu as décidé de me garder comme trophé. Tu as décrété que tout devait se passer comme tu l'entendrais, et je suis forcée de faire avec. C'est comme sa depuis quelques temps. Tu me rend la vie invivable un peu plus à chaque seconde sans jamais t'en rendre compte.


Je ne t'entend plus bouger sa y es tu t'es finalement endormi, j'attrape le balais et ramasse les morceaux de verres cassés , puis passe un coup de serpière pour le thé qui s'est renversé. Le bout de verre que je tenais entre les doigts appelait mes veines, il leur mumurait de belles paroles, leur promettant un avenir plus calme et paisible. J'ai commencé a l'approcher de mon poignet, a appuyer, j'allais m'ouvrir, quand mes yeux se sont doucement relevé sur le cadre de photo de Léa. Nouvelle submergion  de larmes, je ne pourrais même pas faire sa. Je ne pourrais pas la laisser, ni elle ni Julia ni ma mère. Je n'ai pas la force de leur faire du mal. Je suis donc condamnées a souffrir pour les voir vivre. Non pas que je regrette car chacun de leur sourire, me redonne envie de vivre. Pourquoi justement aujourd'hui vous êtes si loin de moi ? J'aimerais tellement vous prendre dans mes bras...


Je ne suis pas parfaite et des défauts j'en ai par centaines, a commencer par mon physique similiaire a un éléphant. Mais ai je mérité tant de violence ? Ai je mérité tant de mépris  ? Pourquoi je ne suis toujours qu'utile a décharger les nerfs ? Prendre des claques et faire comme si tout était pour le ieu dans le meilleur des mondes ? Pourquoi je dois attendre d'être loin de tout les regards, seule recroquevillée dans le noir pour pouvoir lâcher mes larmes ? Et le respect , l'amour, la compréhension ... Où sont ils ?



Malgrés tout ce que j'aurais fait , pour toi , pour nous , pour la survie de notre couple, je ne pourrais pas une fois de plus faire mine d'oublier et te pardonner. Je ne pourrais pas te dire encore une seule fois que je t'aime, je ne sais même pas si je pourrais encore te regarder dans les yeux. Malade du dos, et de la gorge depuis 2 jours, je me retrouve la,pleine de traces de ton impulsivité, mon bras droit a des bosses qu'il ne devrait pas avoir, comme une déviation sur l'autoroute, des traces bleues et rouges, j'ai l'impression de sentir encore tes mains serrer mon cou, ou tes doigts me tordre le bras dans le dos quand je mangeai le par terre.


Désolée d'avoir cassé la table basse en marbre de ta mere, mais tu m'as fais peur,  je recommençait a faire une crise, tu étais dressé devant moi et j'ai balancé pieds et mains comme je pouvait ou je pouvais, mon but n'étant pas de la viser a elle. Mais à me débattre et me tenir un maximum éloignée de ta violence incontrôlable. Puis quelque soit sont prix, c'est un meuble. Toi tes coups tu les donnaies intentionnellement et sur mon corps, chose qui ne se rachète pas ni ne se rembourse, et que rien ne pourrais réparer et panser.

Amen.

Dimanche 7 août 2011 à 18:53


http://tianoushka.cowblog.fr/images/larme.jpgTristement de ma fenêtre je regarde la pluie s'abattre sur le goudron. J'ai les yeux humide et mon coeur remplit d'un chagrin indescriptible, un de ceux qui nous terrassent.  T'arrive t il de penser a moi .. Est ce que parfois tu aimerais me voir , m'entendre et savoir comment je me porte ... J'aimerais pouvoir me confier a toi et avoir droit à des conseils paternel, que tu m'oriente dans ma vie, un petit peu parce qu'en ce moment je ne sais plus quoi faire. Mes nuits se font longues et douloureuses. Je n'ai plus de sommeil, ici ils te dirons que c'est a cause de la télévision et de l'ordinateur, mais c'est parce que trop de questions me trottent dans la tête et toi seul peut m'en donner la réponse, chose que je ne sais tu ne feras pas. J'ai de plus en plus mal, tu voie je m'étais promis de te considérer comme inexistant, mais c'est si difficile de faire semblant. Donne moi ton secret.. Papa ... Je ne voie plus le soleil briller même s'il illumine le ciel, je n'entend plus les oiseaux chanter même si ils en font tout un concert. Je n'ai plus le goût de la vie de famille, j'ai peur d'avoir un jour à mon tour des enfants, peur qu'ils aient à revivre tout sa, peur des choix que j'aurais un jour à faire, sans tes conseils, sans ton amour. Je t'en supplie dis moi que tu m'aimes, dis moi que je compte à tes yeux , que je fais partie de ces choses qui te tiennent debout qui te donnent l'envie de te lever le matin, et te donnent la force d'affronter chaque journée. Si chaque larme était une perle je serais alors des plus riches de ce monde...

Papa, tellement de choses que j'aurais à te dire, mais tellement peu d'opportunité de le faire. Il y a tellement que je voudrais que l'on partage... Mais tu ne m'en accorde ni le temps ni le droit. Papa, j'aimerais tellement pouvoir me blottir dans tes bras pour y pleurer, j'aimerais tellement que tu me regarde un peu droit dans les yeux. Papa dis moi que tu m'aimes et que je te manque. Dis moi que si je venais à partir ta vie perdrais de son sens, que les jours ne seraient pour toi plus si heureux et ensoleillés... Dis moi que tu verserais tellement de larmes que tu aurais peur de perdre la vue. Dis moi que je t'es con que je compte pour toi, que tu ne juste pas comment t'y prendre ni comment revenir vers moi . Dis moi qu'il ne se passe pas une seconde sans que mon image ne hante tes pensées et pour une fois dis moi que t'es fièr de m'avoir dans ta vie.

Tu sais, j'ai beau fermer les yeux et imaginer l'impensable, je pourrais y voir des poneys roses, des fleurs qui chantent, je n'arriverais quand même pas à te voir sur mon horizon...

Vendredi 5 août 2011 à 3:11

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