Tianoushka
Somewhere over the rainbow
Tianoushka
Somewhere over the rainbow
Mercredi 3 août 2011 à 2:31
1 commentaire
Lundi 1er août 2011 à 1:54
J'ai essayé 
de me faire à cette idée, de ne plus t'avoir près de moi, celle que je n'ai plus à espérer un quelquonque changement de ta part vis à vis de moi. Mais j'ai le coeur serré a chaque fois que je pense à toi, il ne se passe pas une seconde sans que tu ne manques à ma vie. Pourquoi moi? Je sais que la chance ne fait pas partie de mon quotidient, bien au contraire, mais au fond l'ai je mérité, pour dès mon premier souffle souffrir pour tes beaux yeux ? Passer des nuits entière à pleurer ton absence et ton indifférence. Tu vois, j'aimerais parvenir à tourner la page, te sortir de ma tête, tout simplement accuser le choc de la dure réalité que tu me fais vivre et un peu plus comprendre tout les jours en feignant mon inexistence. Si je venais à partir, verserais tu une larme pour moi? Aurais tu mal au coeur? Aurais tu seulement des remords? Même de sa, tu sais j'en doute... Chaque matin, en ouvrant les yeux, j'espère voir un appel en absence de toi, ou même un SMS... Mais les mois on beau s'écouler il n'en est rien, sa y est, tu m'as complètement oubliée, rayée, effacée. Je n'arrive pas à comprendre comment un père peut tenir autant de temps sans voir sa fille, ni même l'entendre, juste savoir qu'elle va bien, et lui dire au moins une fois par an je t'aime. J'ai pris la dure décision d'apprendre à faire sans toi, même si pour le moment je te cherche encore un peu toujours. Bientôt ton anniversaire, ton téléphone ne recevra rien de moi, ni ta boîte mail, tu ne me verras plus venir à ta brasserie pour espérer pouvoir te dire juste bonjour. Sa me déchire en deux, mais que devrais je faire d'autre... Dans 3 mois j'ai 19 ans. Autant d'années de douleurs derrière moi, et je suis persuadée que tu pourrais même m'oublier ce jour là. Après tout, je suis majeure tu ne me dois plus rien... Je suis toujours à me demander ce que je représente pour toi... Une erreur ? Un boulet ? Un fardeau ? Mon Dieu que j'aimerais que quelqu'un me serre fort contre lui, pour me laisser pleurer, j'étouffe mes larmes, car tu ne mérites pas qu'elles coulent de nouveau mais Bordel j'ai mal. Qu'as tu avec moi ? Cette question de sang ? Je ne suis pas assez Belle ? Je ne suis pas suffisament intelligente ? Je ne correspond pas à tes attentes ? J'ai pourtant toujours fais les choses pour TE rendre fièr. J'ai toujours essayé .... Peut être pas de la façon que tu voulais, mais j'y employais toute mon énergie. Papa.. Deux mots gravés au Cutter sur mon coeur. Deux syllabes pour moi tout justes prononçables. A chacune de tes évocations, je souffre.. D'une chose que je ne peux pas nommer, pas décrire, qui me prend de l'intérieur et m'éclate en des milliers de morceaux, dont je n'ai pas encore sut recoller en entier. Je ne sais plus quoi écrire d'autre sans parler de toi. Mes articles se répètent, et fatiguerons un à un les visiteurs, je deviendrais vite lassante, vite pénible. Mais j'arrive plus à extérioser. Et je suis seule face à ce mur que tu as dressé entre toi et moi. Maintes fois j'ai tenté de le gravir, tombant de plus a chaque reprise, je n'en ai plus la force. Je suis toute cassée. J'ai un album photo, ou tu es sur presque chacune des photos aux côtés de Julia. Je suis toujours absente sur les traces qu'il reste de ton côté paternel. Comme oubliée... Un fantôme ... Papa ...
de me faire à cette idée, de ne plus t'avoir près de moi, celle que je n'ai plus à espérer un quelquonque changement de ta part vis à vis de moi. Mais j'ai le coeur serré a chaque fois que je pense à toi, il ne se passe pas une seconde sans que tu ne manques à ma vie. Pourquoi moi? Je sais que la chance ne fait pas partie de mon quotidient, bien au contraire, mais au fond l'ai je mérité, pour dès mon premier souffle souffrir pour tes beaux yeux ? Passer des nuits entière à pleurer ton absence et ton indifférence. Tu vois, j'aimerais parvenir à tourner la page, te sortir de ma tête, tout simplement accuser le choc de la dure réalité que tu me fais vivre et un peu plus comprendre tout les jours en feignant mon inexistence. Si je venais à partir, verserais tu une larme pour moi? Aurais tu mal au coeur? Aurais tu seulement des remords? Même de sa, tu sais j'en doute... Chaque matin, en ouvrant les yeux, j'espère voir un appel en absence de toi, ou même un SMS... Mais les mois on beau s'écouler il n'en est rien, sa y est, tu m'as complètement oubliée, rayée, effacée. Je n'arrive pas à comprendre comment un père peut tenir autant de temps sans voir sa fille, ni même l'entendre, juste savoir qu'elle va bien, et lui dire au moins une fois par an je t'aime. J'ai pris la dure décision d'apprendre à faire sans toi, même si pour le moment je te cherche encore un peu toujours. Bientôt ton anniversaire, ton téléphone ne recevra rien de moi, ni ta boîte mail, tu ne me verras plus venir à ta brasserie pour espérer pouvoir te dire juste bonjour. Sa me déchire en deux, mais que devrais je faire d'autre... Dans 3 mois j'ai 19 ans. Autant d'années de douleurs derrière moi, et je suis persuadée que tu pourrais même m'oublier ce jour là. Après tout, je suis majeure tu ne me dois plus rien... Je suis toujours à me demander ce que je représente pour toi... Une erreur ? Un boulet ? Un fardeau ? Mon Dieu que j'aimerais que quelqu'un me serre fort contre lui, pour me laisser pleurer, j'étouffe mes larmes, car tu ne mérites pas qu'elles coulent de nouveau mais Bordel j'ai mal. Qu'as tu avec moi ? Cette question de sang ? Je ne suis pas assez Belle ? Je ne suis pas suffisament intelligente ? Je ne correspond pas à tes attentes ? J'ai pourtant toujours fais les choses pour TE rendre fièr. J'ai toujours essayé .... Peut être pas de la façon que tu voulais, mais j'y employais toute mon énergie. Papa.. Deux mots gravés au Cutter sur mon coeur. Deux syllabes pour moi tout justes prononçables. A chacune de tes évocations, je souffre.. D'une chose que je ne peux pas nommer, pas décrire, qui me prend de l'intérieur et m'éclate en des milliers de morceaux, dont je n'ai pas encore sut recoller en entier. Je ne sais plus quoi écrire d'autre sans parler de toi. Mes articles se répètent, et fatiguerons un à un les visiteurs, je deviendrais vite lassante, vite pénible. Mais j'arrive plus à extérioser. Et je suis seule face à ce mur que tu as dressé entre toi et moi. Maintes fois j'ai tenté de le gravir, tombant de plus a chaque reprise, je n'en ai plus la force. Je suis toute cassée. J'ai un album photo, ou tu es sur presque chacune des photos aux côtés de Julia. Je suis toujours absente sur les traces qu'il reste de ton côté paternel. Comme oubliée... Un fantôme ... Papa ...