Une mauvaise pensée, une insulte s'échappe, des crève toi à tout va, sur demande de l'impulsion peu importe intérieurement je saigne.
J'ai peur, parce que c'est précisément dans les secondes qui suivent que je réalise que toute bonne chose à une fin, que rien n'est éternel, que le bonheur c'est temporaire, que la seule chose qui persistera envers et contre tout, c'est l'amour que je te porte. Le tient commence à me sembler irréel, oublié.. Le temps efface bien des choses, et je commence à croire qu'il m'a rayé de ta mémoire. Tu arrives trop facilement à m'ignorer, et trop constamment tu t'amuses a me blesser. Je ne sais pas à quel jeu tu joues mais j'ai peur de ne plus avoir la force de te suivre encore bien longtemps, petit à petit mon coeur se brise un peu plus, il n'en restera bientôt plus rien. Ce soir encore tu m'as tourné le dos après m'avoir salement parlé, une embrouille que tu t'es créer pour rien à partir de rien, et tu le sais. T'avais les couilles à l'envers, peut importe, maintenant j'ai mal et je pleure. Je ne pourrais pas ce soir encore t'attendre en pleurant pour te voir rentrer et en prendre encore pleins la vue ou te voir passer à côté de moi sans un mot, sans un regard. ce soir j'ai mal. ce soir j'ai pleuré, je pleurerais certainement encore beaucoup. Mais toujours je t'aime...
S'il n'est pas trop tard, j'essaierais de rattraper l'espoir, le rêve... Celui de ta main tenant la mienne et de tes lèvres contre les miennes.
Partie ... Loin ... Ou dans tes bras .